Ni feu ni fête.

Sons d’or me sont

Quelquefois oubliés

La pluie n’arrive qu’aux vents

Il faut trancher les quotas.

 

Fruits sacrés sans limite

La tanière des âges nacrés

Sur l’oraison des attributs

Un orage les a fait naître.

 

L’odeur ne fait se fendre

On ploie sans conteste les idioties

Ne mélangeons pas tout ce qu’on sait

Le monde plierait sans confort.

 

Tranquille, docile, sans paraben

Faut pas croire quand on est pas sûr

Et puis d’abord on lève le camp

On part vite quand on se sait fragile.

 

Pour paraître on est mieux qu’en vrai

Il faudrait disparaître pour faire semblant d’être là

J’imagine sans fard que l’autre est

Pendant que sans fioriture on s’efface pour de faux.

 

©Necromongers

17458351_691262804389474_4380095866223862071_n

Un commentaire sur « Ni feu ni fête. »

Laisser un commentaire