Sons d’or me sont
Quelquefois oubliés
La pluie n’arrive qu’aux vents
Il faut trancher les quotas.
Fruits sacrés sans limite
La tanière des âges nacrés
Sur l’oraison des attributs
Un orage les a fait naître.
L’odeur ne fait se fendre
On ploie sans conteste les idioties
Ne mélangeons pas tout ce qu’on sait
Le monde plierait sans confort.
Tranquille, docile, sans paraben
Faut pas croire quand on est pas sûr
Et puis d’abord on lève le camp
On part vite quand on se sait fragile.
Pour paraître on est mieux qu’en vrai
Il faudrait disparaître pour faire semblant d’être là
J’imagine sans fard que l’autre est
Pendant que sans fioriture on s’efface pour de faux.
©Necromongers
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