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L’esprit Libre, l’émission musicale de Ludovic Auboeuf.

Podcast ou émission musicale, l’appellation importe peu. C’est une émission de Ludovic Auboeuf qui a vu le jour en Août de cette année, et comme c’est un amateur qui se lance il fait avec les moyen du bord depuis son grenier.

Le concept et l’organisation à régulièrement changé depuis les premiers épisodes, et là je vous partage « L’esprit Libre #25 », ou c’est moi qui intervient et qui cause (parce que je l’ai joyeusement soudoyé pour ce faire^^), toute la réalisation technique et le choix des titres et des groupes appartient à Ludovic. L’émission est sans doute encore amenée à évoluer encore. A noter que je suis moi-même novice en la matière nous considèrerons que ce sont donc deux amateurs passionnés de musique qui ce sont rencontré.

L’esprit Libre #25 avec Necromongers c’est par ici:

https://archive.org/details/esprit-libre-025

Sur le site vous pouvez cliquer sur son nom (sous le titre de l’émission) pour avoir accès à toutes autres.

Pour les playlists je n’ai pas encore de solution pratique à vous proposer pour les autres numéros, pour le N°25 c’est:

The Prodigy – Smack My Bitch Up

The Chemical Brothers – Hey Boy Hey Girl

Depeche Mode – Its No Good

Joy Division – Transmission

Ramones – I Wanna Be Sedated

Siouxsie And The Banshees – Spellbound

The Stranglers – Golden Brown

The Doors – When the Musics Over

Tubeway Army – Down in the Park

Lou Reed – Perfect Day

Neil Young with Crazy Horse – Down by the River

Supertramp – Bloody Well Right

Iron Maiden : Fear of the Dark

Playlist et réalisation : Ludovic Auboeuf

Présentation : Necro Mongers

©Necromongers et ©Ludovic Auboeuf

Noir Désir « le vent les portera » Andy Vérol, éditions Pylône, 2009.

[ISBN : 978-2-917577-05-9]

Noir Désir « Le vent les portera », est selon moi, un non-attentat à la pudeur réussi.

C’est une biographie du groupe Noir Désir avant tout. Qui retrace de façon chronologique leur ascension, jusqu’aux évènements de Vilnius, qui scella leur existence définitivement.

Oui, nous sommes d’accord, il y est terriblement question de Bertrand Cantat tout au long de ce récit, qui retrace malgré tout le parcours d’un groupe Français hors norme, qui surprendra d’année en année jusqu’au bout.

Les 8/10ème du bouquin sont consacré à évoquer le milieu, les circonstances et l’évolution du groupe dans les différents espaces-temps musicaux des mêmes périodes dans lequel il évoluait, vis à vis de la musique en général. L’interaction et l’avis de chacun des musiciens sont pris en compte, mais il est bien évident que l’icône que deviendra peu à peu Cantat fait une place prépondérante dans la fabrication de la légende du groupe lui-même.

Pour autant, il n’y a pas trace et volonté de l’auteur à déployer une quelconque culture du mythe. Mais seulement à commenter, expliquer, comparer et comprendre les raisons d’une ascension pleine de rebondissements, d’interactions et de circonstances ayant conduit à une apogée salvatrice que l’on connaît. Tout au plus, il donne son avis ça et là sur des mouvements musicaux, sur des tendances, des orientations du moment et leurs concordances de pensées, et sur la stratégie des majors en pleine montée libérale.

C’est écrit comme on boit une bière, de façon simple et limpide, avec ce petit sentiment de consentement après chaque gorgée. Chaque gorgée en appelant une autre, de fait, il conduit à en boire rapidement le contenu puisque c’est agréable.

Hormis le dernier chapitre (puisque c’est écrit de façon chronologique) sur les évènements de Vilnius, rien avant ne vient faire barrage à l’histoire du groupe avec la vie amoureuse de chacun des musiciens, Bertrand Cantat compris. C’est pour cela que je parle de pudeur dès le début. Car cette biographie parle avant tout du groupe Noir Désir, avant d’en décrire la déchéance rapide qui sera relayée par les médias sous la forme d’un attentat médiatique.

 

10 ans après, Léonel Houssam (aka Andy Vérol), écrit une nouvelle biographie « augmentée » (qui reprend donc en partie le texte de celui que je présente avec des modifications) du groupe (Noir Désir « Post-mortem »), qui vient de sortir le 30 novembre chez Camion Blanc (c’est ici pour commander: http://www.camionblanc.com/detail-livre-noir-desir-post-mortem-1251.php ). Et comme pour la première biographie, il est victime à outrance d’une vindicte populaire imperméable à l’histoire du groupe, parce que les évènements de Vilnius ont politisé le débat.

Je vous invite donc à vous faire un avis par vous-même, en vous y intéressant intellectuellement, plutôt qu’en y réagissant de façon épidermique.

Le site de l’auteur : http://leonel-houssam.blogspot.com/

©Necromongers

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I got my ticket for the long way

I got my ticket for the long way ‘round

Two bottle ‘a whiskey for the way

And I sure would like some sweet company

And I’m leaving tomorrow, wha-do-ya say?

When I’m gone

When I’m gone

I’m gonna miss you when I’m gone

I’m gonna miss you in my breath

I’m gonna miss you everywhere, oh

I’m gonna miss you when I’m gone

I’ve got my ticket for the long way ‘round

The one with the prettiest views

It’s got mountains, it’s got rivers, it’s got sights to give you shivers

But it sure would be prettier with you

When I’m gone

When I’m gone

I’m gonna miss you when I’m gone

I’m gonna miss you in my walk

I’m gonna miss you in my talk, oh

I’m gonna miss you when I’m gone

©Necromongers

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Bleu Gravité (version musicale by Hakim)

A écouter avec ça: (version standard)

Et ça: (version remix)

 

Et ça: (version finale améliorée)

http://t.co/vM34tCSSnX

 

Par Monsieur le bien nommé Hakim… qu’on peut retrouver aussi ici:

http://hakim2.bandcamp.com/

Où ici:

https://myspace.com/hakim2/music/albums

 

BLEU GRAVITE

 

Fleur mécanique d’un regard sibyllin,
Réponse énigmatique d’un égard lointain.
A fleur de peau, forme et fond mêlés,
A couleur d’eau, normes en ronds frelatés.
Brouillard tendre et humide, lascif,
Sans fard d’étendre un fluide, expressif.


Forcé de croire que la vision sublime,
Vissée d’espoir qu’une oraison culmine.


C’est le monde d’eau où Nathalie flotte,
C’est le mont d’Ô où la litanie s’exhorte.

Passé maître l’art s’exploite
Passé l’exploit l’art se fait maître.

 

Modèle et photographie ©Nathalie Mondot

http://nathalie-mondot.com/blog/

 

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